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QUELQUES FLEURS ÉVANESCENTES, ÉCHAPPÉES DE LEUR CHAMP

Peindre est mon second mode d'expression, après la parole qui nous fonde, nous structure, nous permet d'être, d'approuver ou de refuser. Dans ma carrière de psycholoque clinicienne, les deux combinés m'ont été indispensables pour comprendre l'autre, l'accompagner, l'aider à se libérer.
Peindre des fleurs était une façon de digérer, transformer la souffrance en beauté, les champs puis les fleurs plus déstructurées et volubiles sont nées de cette nécessité de métaboliser les difficultés, les accidents de parcours, ceux des autres comme les miens.

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